Le 27 février 2017, dans un article (voir ICI) que je publiais dans TourismExpress, je faisais référence au risque d’une pandémie mondiale qui viendrait frapper la planète et le tourisme. Comme je l’écrivais, les bouleversements sont sources de stress, de détresse et….d’opportunités pour qui sait les saisir. A partir de maintenant chers confrères et chères consœurs, vivez le changement avec de nouvelles lunettes et saisissez les occasions pour faire mieux et différent. Avec mon entreprise, Amishk Aventures Amérindiennes dans Lanaudière, c’est exactement là où j’en suis…Comment survivre et quoi faire ensuite de mieux. En attendant la vraie crise existentielle à venir qu’on va tous connaître : les changements climatiques.
M. Arruda, comme c’est vous et votre équipe qui décidez des étapes du déconfinement, permettez-moi un commentaire. Avec votre annonce de l’ouverture prochaine des salons de coiffure, des centres dentaires et même des commerces dans la zone « chaude » de Montréal alors que la très grande majorité des entreprises touristiques demeurent fermées, sans aucun calendrier pour leur déconfinement en ce 21 mai - contrairement à la majorité des pays occidentaux- , je me questionne en quoi le risque sanitaire des PME touristiques des régions est plus élevé qu’un commerce sur le boulevard Saint-Laurent ? Mais surtout, savez-vous qu’en novembre, les pourvoiries, les producteurs en tourisme d'aventures, les campings et les marinas seront fermés alors que les salons de coiffure seront toujours ouverts ? Le tourisme des régions est hautement SAISONNIER contrairement à la majorité des autres secteurs économiques. Il y a une fenêtre d’opération qui débute dans quelques jours et se re
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