En consultant le programme des Assises du 8 mai prochain à Québec, on peut y constater que le ministère a regardé ce qui se fait ailleurs sur la planète pour les stratégies des destinations touristiques. Enfin. Après 4 ans, et des millions de dollars de fonds publics dépensés sur diverses actions en développement durable, le gouvernement du Québec constate qu’il faut mieux planifier avant d’agir. Prenez simplement, pour exemple, la priorité mondiale de décarboner ses activités touristiques : malgré de multiples approches et suggestions depuis 4 ans , nous ne savons toujours pas l’empreinte carbone du tourisme au Québec; on ne peut ainsi se fixer un objectif de baisse crédible et on ne peut clairement identifier les stratégies collectives à mettre en place. La réelle durabilité en tourisme, c’est ce que font depuis quelques années la Finlande , la Norvège , la Slovénie , la Nouvelle-Zélande , le Costa Rica et la Croatie . Mon analyse pointue de chacune, l’automne dernier, m’